le jeudi 13 octobre à 18h, attention ! non pas au musée mais Salle du Sénéchal, 17 rue de Rémusat : La femme dans la peinture de genre française entre Révolution et Restauration par Melle Carole Blumenfeld, Docteur en Histoire de l’art et pensionnaire de l’Académie de France à Rome,
 « Les peintres de genre de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe, Boilly, Marguerite Gérard, Van Gorp, Mallet ou Schall, se sont principalement consacrés à un seul et même sujet aux facettes multiples : la « sensibilité » de la femme française, en s’inspirant tour à tour du théâtre, de la littérature et de la musique contemporaine. »

Le jeudi 10 novembre à 18h, attention ! non pas au musée mais Salle du Sénéchal, 17 rue de Rémusat : La rose sans les épines  par Mr Maurice DAUMAS, Professeur d’Histoire moderne à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.
L’image amoureuse dans la peinture de genre à la fin du XVIIIe siècle.
«  A la fin du XVIIIe siècle, la grivoiserie et la galanterie font toujours recette. L’amour passion et l’amour tendresse aussi. Mais la nouveauté est la célébration de l’amour conjugal, volontiers représenté comme le sommet de la félicité terrestre. Fragonard et bien d’autres peintres, un peu oubliés aujourd’hui, ont su représenter toutes les tonalités de l’amour – mais il s’agit d’un amour sans épines, merveilleusement adapté au désir masculin. »
Pour rappel ces conférences sont gratuites pour les adhérents à l’association mais néanmoins ouvertes à tous.
Entrées 6 euros et 2 euros pour les étudiants. Sans réservation dans tous les cas.

Mardi 25 janvier à 18h30 au musée : Du Gréco à Murillo, le Siècle d’Or espagnol
Mardi 8 Février à 18h30 au musée : Goya, peintre de cour et visionnaire.
Marc Salvan-Guillotin, Docteur en histoire de l’art.
Jeudi 31 mars à 18h, Attention exceptionnellement non pas au musée mais Salle du Sénéchal, 17 rue de Rémusat :« l’Art nouveau et l’Ecole de Nancy »
En écho à notre voyage en Alsace-Lorraine (dont la ville de Nancy) du mois d’octobre prochain et parce qu’il s’agit pour tout le monde d’une passionnante période de l’histoire de l’art, nous vous invitons à venir très nombreux écouter Mr Guy Ahlsell de Toulza, professeur honoraire d »histoire de l »art.
Jeudi 12 Mai à 18h, attention exceptionnellement non pas au musée mais Salle du Sénéchal, 17 rue de Rémusat : « Caspard Friedrich et le Romantisme allemand »
En écho à notre voyage à Berlin du mois de mai prochain, et parce qu’il s’agit, redécouvert il y a un siècle, de l’un des plus grands paysagistes allemands du 19è siècle, je vous invite à venir très nombreux écouter Mr Marc Salvan Guillotin, Docteur en histoire de l’art.
Pour rappel ces conférences sont gratuites pour les adhérents à l’association mais néanmoins ouvertes à tous.
Entrées 6 euros et 2 euros pour les étudiants. Sans réservation dans tous les cas.
L’Art nouveau
A la fin du 19ème siècle, entre 1870 et 1914, une nouvelle esthétique fait jour : MODERNITE, NOUVEAUTE, JEUNESSE et. you can try these out. RUPTURE.
L’Art nouveau répond à des termes et des réalités multiples :

• « Art nouveau » en Being a born on October 5th, you are perhaps most well-known for your thoughtfulness. France,
• « nieuwe Kunts » aux Pays-Bas et en Belgique,
• « Jugendstil », « Secession » en Europe centrale,
• « Modernismo » à Barcelone et son équivalent à Moscou « Modern Style »

font référence au projet de changement ;

• « art floral », à certains des motifs qui l’ont inspiré ;
• « style Guimard » ou « Liberty » à quelques-unes des personnalités qui l’ont marqué ;
• « style coup de fouet » ou « style nouille », aux émois agressifs qu’il a suscités ;
• « style 1900 », au millésime qui, avec l’exposition universelle présentée à Paris, la même année, a symbolisé un moment d’apogée qui se confond à tort ou à raison avec la Belle époque.

Les plus grands artistes de Lalique à Gallé, de Daum à Tiffany, de Horta à Guimard ou de Van de Velde à Gaudi sont les pivots de cette remarquable synthèse sur un moment incontournable de l’art moderne.
Nancy et le triomphe du végétal.
L’Ecole de Nancy est l’appellation réservée aux créateurs dans cette ville de l’Art nouveau et compte parmi les rares cas, en France, de vie artistique qui ait été relativement indépendante de celle de la capitale. A Nancy ce sont les industriels d’art qui sont les initiateurs, les maisons Gallé, Majorelle et Daum en sont les emblématiques exemples.